Martin Veyron
Dargaud, 2016
Un air de lutte des classes pour commencer ce récit avec un riche bourgeois qui possèdent toutes les terres sans en laisser l’usage à ses voisins plus pauvres alors qu’il ne les utilisent pas. Mais également un air de questionnement sur la gestion des communs avec l’usage parcimonieux d’une terre pour les besoins primaires. Un air de critique du capitalisme et de l’appropriation des richesses outre mesure, plus que l’homme ne peut en gérer, l’envie de posséder davantage qui se fait toujours forcément au détriment de ses voisins. Une folie des grandeurs qui mènent parfois au pire.
William Hogge