Dimanche 9 octobre 2016, 14:00 – 16:00
Sur la librairie, au 100
Seine de vies : de la source à l’estuaire
(Grandvaux, 2015)
Ce livre nous emmène en voyage tout au long de la Seine, de la source à l’embouchure, et nous en fait voir de toutes les couleurs. Grâce à leurs nombreuses rencontres, Catherine et Bernard Desjeux établissent un lien entre les diverses facettes de ce fleuve : la petite rivière primesautière, les grands lacs-réservoirs de Champagne, leur rôle dans la protection contre les crues et le soutien d’étiage, la région parisienne et Paris la ville lumière, la Seine normande, l’estuaire, porte ouverte sur le vaste monde.
Ce livre vivant relate des scènes de vie variées. Se dessine au fil des pages, par le texte et l’image, l’esprit d’une Seine complexe que l’on croit connaître.
Catherine et Bernard Desjeux, grands voyageurs, journalistes reporters photographes indépendants, sont connus pour leur regard humaniste sur le monde. Ils s’intéressent plus particulièrement aux rapports de l’homme et de l’environnement au Sahara, en Afrique Noire, en France.
Ils effectuent de longs séjours par les chemins de traverse à la manière des voyageurs du xixe siècle, curieux de tout. Restant disponibles aux cadeaux du hasard et en associant la rigueur et l’émotion avec une pointe d’humour, ils nous offrent leur point de vue et nous invitent à partager des moments de vie dans leurs diversités.
Fleuve Niger : cœur du Mali
(Grandvaux, 2011)
Le fleuve Niger est l’artère vitale pour près de cent millions d’Africains, répartis sur neuf pays. Son delta intérieur, au cœur du Mali, est un fantastique espace, frontière mouvante entre Sahara et Sahel.
Fleuve sacré, fleuve civilisateur, fleuve économique, jalonné par les villes mythiques de Tombouctou, Djenné, Gao, Mopti, par la capitale Bamako…, le Niger est aujourd’hui destabilisé par une activité humaine débordante, qui risque de périr par là où elle a cru vivre.
Ce livre offre d’appréhender, par l’image et par le texte, la logique de cet écosystème et de proposer quelques repères pour que l’homme vive avec la nature et non contre la nature, afin que ce fleuve vivant soit encore longtemps un fleuve de vie.